Petit Poucet de la Coupe des Confédérations, la Nouvelle-Zélande est «très optimiste»

Les All Whites défient la Russie en ouverture de la Coupe des Confédérations ce samedi. «Nous avons une vraie bonne équipe», a assuré leur sélectionneur anglais Anthony Hudson, confiant.

«Dans quel état d’esprit se trouve votre sélection et quelles sont vos impressions après votre préparation ?
La première réponse est facile: nous sommes à 100%. Je pense que je peux parler pour tout le groupe pour dire qu’on attend vraiment ce match. Nous avons eu une préparation différente des autres équipes. Nous avons joué contre d’autre types d’adversaires (l’Irlande du Nord et le Bélarus) et avons énormément voyagé depuis que le groupe a été constitué. La moitié de l’équipe arrive de Nouvelle-Zélande et notre groupe est basé partout dans le monde. Nous avons une logistique différente des autres équipes, nous n’avons pas la même montée en puissance que nos adversaires mais nous avons une vraie bonne équipe, avec beaucoup de confiance en soi. L’objectif est de faire quelque chose de significatif et on est très optimiste.

«Notre équipe a joué sur des pelouses bien pires»

Vous aviez dit avant la compétition que vous seriez satisfait avec une victoire. Qui sera votre victime ?
Il n’y a aucune raison de venir si c’est juste pour faire partie de la fête, profiter de l’occasion… Je peux vous assurer qu’on ne vient pas pour ça. Notre premier match est contre la Russie, on va venir à ce match avec un plan pour gagner ce match. Et on fera la même chose pour le deuxième match.

Comment jugez-vous la pelouse du stade de Saint-Pétersbourg, sur laquelle personne n’a jamais joué. Êtes-vous inquiet et avez-vous un plan B si la pelouse est dégradée ?
C’est un stade incroyable et la pelouse semble en bon état. Il faut juste voir comment va se passer le match, les conditions seront les mêmes pour les deux équipes. Je peux vous assurer que notre équipe a joué sur des pelouses bien pires pour arriver jusqu’ici. On a joué sur des terrains extrêmement compliqués donc on est vraiment habitué à s’adapter aux conditions de jeu. On est bon pour ça.»